Derrière sa façade monumentale, le Panthéon révèle une mémoire vivante : Voltaire face à Rousseau, Hugo auprès de Zola et Dumas, Simone Veil et Joséphine Baker dans la crypte. Chaque nom raconte une histoire, chaque absence interroge notre rapport à l’Histoire et à la mémoire républicaine.

Ce que j’aime au cimetière de Montmartre, c’est ce mélange d’intime et de spectaculaire. On y croise des noms célèbres, mais aussi des inconnus qui ont façonné l’histoire de l’art, du théâtre et de Paris. Ce n’est pas un musée figé, c’est un lieu vivant, traversé d’histoires, de chats, d’escaliers.